J’ai oublié Tonton, mon chat libre, le plus heureux des matous. Pas de maître, pas de limites.
Je l’ai recueilli il y a quelques années en bien triste état. Il a bien remonté la pente depuis. Il ne veut pas s’installer dans la maison car il ne supporte pas d’être enfermé mais il est là tous les matins quand j’ouvre les volets et tous les après-midis pour manger. Il supporte bien les chiens et fait des gros câlins à Gaïa dès qu’il la voit.
Lui aussi est sous ma responsabilité. Je l’emmène régulièrement chez le véto. Il aime pas trop mais qui pourrait aimer être mis de force dans une boîte et être tripoté par un inconnu.
Le voilà. La photo n’est pas terrible mais c’est pas évident de le chopper.
Allez, cette fois, à plus pour de bon !